La Policía Nacional desarticula una organización criminal dedicada a la trata de mujeres para su explotación sexual en pisos prostíbulo
Agentes de la Policía Nacional han desarticulado una organización criminal dedicada, presuntamente, a la trata de mujeres para su explotación sexual en pisos prostíbulo ubicados en las provincias de Barcelona, Sevilla y Las Palmas. Las víctimas, de origen latinoamericano, eran captadas para trabajar en nuestro país mediante ofertas ficticias publicadas en internet. Por el traslado hasta España adquirían una deuda de entre 3.500 y 4.000 euros que tenían que saldar ejerciendo la prostitución las 24 horas del día, siete días a la semana. El entramado también contaba con un piso utilizado como “call center” para la recepción de llamadas de los clientes atendido por mujeres que eran explotadas laboralmente. Los beneficios de la organización se incrementaban con la venta de sustancias estupefacientes a los clientes, y se han detectado movimientos de dinero de más de 800.000 euros por parte del principal responsable.
LA POLICE NATIONALE DE L’ESPAGNE DÉMANTÈLE UNE ORGANISATION CRIMINELLE SPÉCIALISÉE DANS LA TRAITE DES FEMMES À DES FINS D’EXPLOITATION SEXUELLE DANS DES MAISONS CLOSES. Des agents de la police nationale ont démantelé une organisation criminelle qui se livrerait à la traite de femmes à des fins d’exploitation sexuelle dans des maisons closes situées dans les provinces de Barcelone, Séville et Las Palmas. Les victimes, d’origine latino-américaine, étaient recrutées pour travailler dans notre pays par le biais d’offres fictives publiées sur Internet. Pour leur transfert en Espagne, elles contractaient une dette de 3 500 à 4 000 euros, qu’elles devaient rembourser en se prostituant 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Le réseau disposait également d’un appartement utilisé comme «call center pour recevoir les appels des clients, où travaillaient des femmes exploitées pour leur travail. Les profits de l’organisation étaient augmentés par la vente de stupéfiants aux clients, et des mouvements d’argent de plus de 800 000 euros ont été détectés de la part du principal responsable [Le texte continue en espagnol].