Agentes de la Policía Nacional han desmantelado una organización criminal dedicada, presuntamente, a la trata de personas y a su explotación laboral en locales de manicura ubicados en las provincias de Alicante, Baleares, Barcelona, Sevilla y Vizcaya. La mayoría de las víctimas, de nacionalidad vietnamita, eran captadas en su país de origen y trasladadas a España con una tarjeta de permiso de residencia y trabajo que conseguían en Hungría de manera fraudulenta. Una vez aquí, las víctimas eran forzadas a trabajar en jornadas laborales de más de 10 horas, de lunes a domingo y sin recibir ningún salario hasta saldar la deuda contraída con la red criminal que ascendía hasta los 20.000 euros.

LIBÉRATION DE 23 PERSONNES EXPLOITÉES DANS DES ÉTABLISSEMENTS DE MANUCURE. Des agents de la police nationale ont démantelé une organisation criminelle qui se livrerait à la traite des êtres humains et à l’exploitation de leur travail dans des salons de manucure situés dans les provinces d’Alicante, des Baléares, de Barcelone, de Séville et de Biscaye. La plupart des victimes, de nationalité vietnamienne, étaient recrutées dans leur pays d’origine et amenées en Espagne avec une carte de séjour et de travail qu’elles avaient obtenue frauduleusement en Hongrie. Une fois sur place, les victimes étaient contraintes de travailler plus de 10 heures par jour, du lundi au dimanche, sans percevoir de salaire jusqu’à ce qu’elles remboursent la dette contractée auprès du réseau criminel, qui s’élevait jusqu’à 20 000 euros [Le texte continue en espagnol].

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La Policía Nacional ha liberado a 18 mujeres explotadas sexualmente en clubes de alterne de las provincias de Albacete y Murcia por una organización criminal de carácter internacional dedicada a la trata de seres humanos con fines de explotación sexual, prostitución coactiva, tenencia ilícita de armas, tráfico de drogas y otras actividades delictivas. La operación ha culminado con la detención de 11 personas en las provincias de Albacete (7) y Murcia (4), incluidos los tres responsables de la organización que han ingresado en prisión provisional. Las víctimas eran captadas mediante el engaño y adquirían con el entramado una deuda que podía alcanzar los 4.000 euros, que debían saldar ejerciendo la prostitución en clubes de alterne durante las 24 horas al día, siete días a la semana, donde además vivían intimidadas y sometidas a constantes amenazas.

LA POLICE NATIONALE LIBÈRE 18 FEMMES EXPLOITÉES SEXUELLEMENT PAR UNE ORGANISATION CRIMINELLE INTERNATIONALE SPÉCIALISÉE DANS LA TRAITE DES ÊTRES HUMAINS. La police nationale a libéré 18 femmes exploitées sexuellement dans des maisons closes des provinces d’Albacete et de Murcie par une organisation criminelle internationale spécialisée dans la traite des êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle, de prostitution forcée, de détention illégale d’armes, de trafic de stupéfiants et d’autres activités criminelles. L’opération a abouti à l’arrestation de 11 personnes dans les provinces d’Albacete (7) et de Murcie (4), dont les trois dirigeants de l’organisation qui ont été placés en détention provisoire. Les victimes étaient recrutées par tromperie et contractaient une dette allant jusqu’à 4 000 euros, qu’elles devaient rembourser en se prostituant dans des maisons closes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, où elles étaient également intimidées et soumises à des menaces constantes [Le texte continue en espagnol].

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Agentes de la Policía Nacional han desarticulado en la provincia de Valencia una organización criminal dedicada, presuntamente, a la trata de personas y a su explotación laboral como temporeros agrícolas. Las víctimas, de diferentes nacionalidades, eran obligadas a residir en un hotel abandonado en la localidad de Sagunto, donde vivían en pésimas condiciones de vida, careciendo de agua para asearse. Los temporeros eran obligados a trabajar en la recogida de cítricos largas jornadas laborales, la mayoría de las víctimas no estaban dadas de alta en la Seguridad Social y recibían un salario ínfimo, muy inferior al de otros trabajadores. Hay cinco personas detenidas y nueve víctimas han sido liberadas en la localidad valenciana de Sagunto.

UNE ORGANISATION CRIMINELLE DEDIÉE À L’EXPLOITATION DE LA MAIN-D’ŒUVRE DANS LA PROVINCE DE VALENCE (ESPAGNE) A ÉTÉ DÉMANTELÉE. Des agents de la police nationale ont démantelé, dans la province de Valence, une organisation criminelle qui se livrerait à la traite des êtres humains et à leur exploitation en tant que travailleurs agricoles saisonniers. Les victimes, de différentes nationalités, étaient contraintes de vivre dans un hôtel abandonné de la ville de Sagunto, où elles vivaient dans des conditions épouvantables, manquant d’eau pour se laver. Les travailleurs saisonniers étaient contraints de travailler de longues heures à la cueillette des agrumes. La plupart des victimes n’étaient pas inscrites à la sécurité sociale et recevaient un salaire très bas, bien inférieur à celui des autres travailleurs. Cinq personnes ont été arrêtées et neuf victimes ont été libérées dans la ville valencienne de Sagunto.

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Según noticia publicada por El Diario de Cantabria, la Fiscalía de Cantabria solicita una pena de nueve años de prisión para un hombre acusado de traer a España a una mujer con discapacidad intelectual con el objetivo de prostituirla. Además, reclama penas de tres años para otros dos acusados, conocidos del primero, que presuntamente mantuvieron relaciones sexuales con la víctima siendo conscientes de su situación de vulnerabilidad. La acusación particular eleva las penas hasta los 19 años y medio de cárcel para el principal acusado y 15 años para los otros dos.

PROCÈS EN ESPAGNE POUR AVOIR PROSTITUÉ UNE FEMME HANDICAPÉE INTELLECTUELLE AMENÉE DE ROUMANIE. Le ministère public de Cantabria (nord de l’Espagne) demande une peine d’emprisonnement de neuf ans pour un homme accusé d’avoir amené en Espagne une femme handicapée mentale dans le but de la prostituer. En outre, il demande des peines de trois ans pour deux autres accusés, connus du premier, qui auraient eu des relations sexuelles avec la victime tout en étant conscients de leur situation de vulnérabilité. L’accusation individuelle porte la peine à 19 ans et demi de prison pour le principal accusé et 15 ans pour les deux autres [Le texte continue en espagnol].

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