Más de 40 millones de personas en el mundo fueron víctimas de una forma de esclavitud moderna a través del el trabajo forzoso y del matrimonio forzoso en 2016, según un estudio publicado por Naciones Unidas en 2017.  El informe sobre Las estimaciones globales de esclavitud moderna: El trabajo forzoso y el matrimonio forzoso muestran que 40,3 millones de personas han estado sometidas a la esclavitud moderna. Esta cifra incluye 24,9 millones en trabajo forzoso y 15,4 millones en matrimonio forzoso. Las estimaciones son el resultado de una colaboración entre la Organización Internacional del Trabajo (OIT) y la Fundación Walk Free, en asociación con la Organización Internacional para las Migraciones (OIM), y con la aportación de otras agencias de Naciones Unidas, en particular de la Oficina del Alto Comisionado para los Derechos Humanos (OHCHR).

UN RAPPORT GLOBAL DE L’OIT, L’OIM ET LA FONDATION WALK FREE SUR LE TRAVAIL FORCÉ ET LE MARIAGE FORCÉ EN 2016.  Plus de 40 millions de personnes dans le monde ont été victimes d’une forme d’esclavage moderne à travers de le travail forcé et du mariage forcé en 2016, selon une étude publiée par des Nations Unies en 2017. Le rapport sur Les estimations globales d’esclavage moderne: Le travail forcé et le mariage forcé montrent que 40,3 millions de personnes ont été soumis à l’esclavage moderne. Ce chiffre inclut 24,9 millions à un travail forcé et 15,4 millions dans un mariage forcé. Les estimations sont le résultat d’une collaboration entre l’Organisation internationale du Travail (OIT) et la Fondation Walk Free, en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), avec les contributions fournies par d’autres agences des Nations Unies, en particulier du Bureau du Haut Commissaire aux droits de l’homme (OHCHR).

Una investigación internacional realizada por un equipo conjunto formado por agentes de la Policía Nacional española y rumana coordinados por EUROPOL y EUROJUST, ha logrado la desarticulación de la que se considerada a juicio de los investigadores la organización criminal más importante de ciudadanos rumanos dedicados a la trata de seres humanos con fines de explotación sexual, que operaba en España y otros países de la Unión Europea.

DÉSARTICULÉE L’ORGANISATION CRIMINELLE D’ORIGINE ROUMAINE LA PLUS IMPORTANTE DÉDIÉE À TRAITE SEXUEL QUI AGISSAIT EN ESPAGNE ET DANS QUELQUES PAYS DE L’UNION EUROPÉENNE. Une recherche internationale réalisée par une équipe conjointe formée par des agents de la Police Nationale espagnole et roumaine, coordonnés par EUROPOL et EUROJUST, a obtenu la désarticulation à celle que considérée à l’avis des enquêteurs l’organisation criminelle la plus importante de citoyens roumains dédiés à la traite d’êtres humains aux fin d’exploitation sexuelle, qui agissait en Espagne et d’autres pays de l’Union Européenne [Le texte continue en espagnol].

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Agentes de la Policía Nacional han desarticulado en El Ejido (Almería) una organización compuesta por tres hombres y dos mujeres dedicados a la explotación sexual de mujeres. Los detenidos contactaban con jóvenes de Rusia y Ucrania a través de las redes sociales y eran engañadas para que vinieran a España con falsas promesas de trabajo en establecimientos de hostelería. El grupo organizaba todo el viaje y, una vez en nuestro país, informaba a las víctimas que tenían que ejercer la prostitución y saldar una deuda contraída por un valor de 3.000 euros. En el marco de esta operación han sido liberadas dos mujeres que estaban siendo explotadas sexualmente por los miembros de este grupo.

LA POLICE NATIONALE DE L’ESPAGNE DÉSARTICULE À ALMERÍA UNE ORGANISATION DÉDIÉE À L’EXPLOITATION SEXUELLE DE FEMMES CAPTÉES À TRAVERS DES RÉSEAUX SOCIAUX DE LA RUSSIE. Des agents de la Police Nationale de l’Espagne ont désarticulé dans à Almeria une organisation composée par trois hommes et deux femmes dédiés à l’exploitation sexuelle de femmes. Les détenus contactaient des jeunes de la Russie et de l’Ukraine à travers des réseaux sociaux pour qu’elles vinssent en Espagne avec de fausses promesses de travail dans des établissements d’hôtellerie. Le groupe organisait tout le voyage et, une fois dans notre pays, informait les victimes qui avaient à exercer la prostitution et à solder une dette contractée par une valeur de 3.000 euros. Dans le cadre de cette opération ont été libérées deux femmes qui étaient sexuellement exploitées par les membres de ce groupe [Le texto continue en espagnol].

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Le Groupe d’experts sur la lutte contre la traite des êtres humains (GRETA) a tenu sa 30ème réunion du 20 au 24 novembre 2017 au Conseil de l’Europe à Strasbourg. Lors de cette réunion, le GRETA a adopté les rapports finaux du deuxième cycle d’évaluation sur la Serbie, la Slovénie et «L’ex-République yougoslave de Macédoine», en prenant en compte les commentaires reçus des autorités nationales. Ces rapports seront transmis aux autorités concernées et seront ensuite rendus publics, avec d’éventuelles observations finales des autorités. Le GRETA a aussi adopté les projets de rapport du deuxième cycle sur l’Espagne et la Suède, ainsi qu’un projet de rapport du premier cycle sur l’Estonie.

30ª REUNIÓN DE GRETA, CON LA APROBACIÓN DEL PROYECTO DE INFORME SOBRE ESPAÑA. El Grupo de expertos sobre la lucha contra la trata de seres humanos (GRETA) celebró su 30ª reunión entre los días 20 y 24 de noviembre en el Consejo de Europa (Estrasburgo). En esta reunión, GRETA adoptó los informes finales del segundo ciclo de evaluación sobre Serbia, Eslovenia y la ex-república yugoslava de Macedonia, teniendo en consideración los comentarios recibidos de las autoridades nacionales. Estos informes serán transmitidos a las autoridades correspondientes y seguidamente hechos púbicos, con las eventuales observaciones finales de las mencionadas autoridades. Asimsimo, GRETA ha adoptado los proyectos de informe del segundo ciclo de evaluación sobre España y Suecia, así como el proyecto de primer ciclo sobre Estonia [El texto continúa en francés].

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