«El País» publica una entrevista con Joaquín Sánchez-Covisa, coordinador en la Fiscalía de Extranjería de toda la labor que realizan los fiscales españoles para luchar contra la trata de personas, en un país que, según subraya, es «el paraíso de los proxenetas». Sánchez-Covisa asegura que supone una «compleja» labor el combate contra estas mafias de trata de mujeres, así como la identificación de los menores víctimas de las redes. «Los jueces se niegan muchas veces a adoptar medidas, porque para separar a una madre de un hijo es necesario algo más que conjeturas. Lo preferente para el Derecho es que no se puede separar a un hijo de su madre», recalca el representante del Ministerio Público.

«LE COMBAT CONTRE LES MAFFIAS DE LA TRAITE DES ÊTRES HUMAINS EST UN TRAVAIL COMPLEXE». «El País» publie une interview avec Joaquín Sanchez-Covisa, coordinateur du Ministère public d’Extranéité de tout le travail que les procureurs espagnols réalisent pour lutter contre la traite des êtres humains, dans un pays que, comme il souligne, c’est un «paradis des proxénètes». Sanchez-Covisa assure qu’il suppose un travail «complexe» le combat contre ces maffias de la traite des femmes, ainsi que l’identification des mineurs qui sont victimes des réseaux. «Les juges se refusent à adopter plusieurs fois des mesures, parce que, pour séparer une mère d’un fils, est nécessaire un peu plus que des conjectures. Le préférentiel pour le Droit consiste en ce que l’on ne peut pas séparer un fils de sa mère», il souligne le représentant du Ministère Public [Le texte continue en espagnol]. Leer más…