Defensores del Pueblo piden que se reconozca la trata de personas como un crimen de lesa humanidad y no criminalizar la migración
Defensores del Pueblo de 23 países de Latinoamérica, además de España y Portugal, a la conclusión de la Primera Cumbre Iberoamericana sobre Derechos Humanos, Migración y Trata y Tráfico de Personas, realizada esta semana en Colombia, acordaron llevar adelante acciones que permitan proteger los derechos de las víctimas de trata y tráfico y de los migrantes. En ese marco, decidieron impulsar gestiones para que sus Estados y Gobiernos, dentro de su ordenamiento jurídico, incorporen los principios internacionales de derechos humanos que no criminalicen la migración y reconozcan la trata de personas como crimen de lesa humanidad en los términos del Estatuto de Roma.
DES DÉFENSEURS DU PEUPLE (OMBUDSMAN) DEMANDENT QU’IL SE RECONNAISSE LA TRAITE COMME UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ ET NE PAS CONCEVOIR LA MIGRATION COMME UN CRIME. Des défenseurs du Peuple (Ombudsman) de 23 pays de l’Amérique latine, en plus de l’Espagne et le Portugal, à la conclusion du Premier Sommet Latino-américain sur les Droits de l’homme, la Migration et la Traite et le Trafic de Personnes, réalisée cette semaine en Colombie, se sont mis d’accord de porter en avant les actions qui permettent de protéger les droits des victimes de la traite et du trafic et des migrants. Dans ce cadre, ils ont décidé de pousser des démarches pour que, à l’intérieur de son ordonnance juridique, ses États et Gouvernements incorporent les principes internationaux de droits de l’homme et reconnaissent la traite de personnes comme crime contre l’humanité dans les termes du Statut de Rome [Le texte continue en espagnol]. Leer más…