Le 17 décembre 2019, la Division Anti-traite du Conseil de l’Europe a organisé une table ronde intitulée «Intensifier l’action du Conseil de l’Europe contre la traite des êtres humains à l’ère du numérique». L’objectif de la table ronde était de mettre en commun des informations et des propositions sur les moyens de mieux utiliser les outils existants et de développer les partenariats public-privé pour prévenir et combattre la traite des êtres humains à l’ère du numérique. Les participants ont examiné les principaux défis liés à l’identification des victimes de la traite en ligne, aux enquêtes sur les affaires de traite et à la poursuite des auteurs d’infractions liées à la traite des êtres humains commises au moyen des technologies de l’information et des communications, les défis en matière de droits de l’homme liés à l’utilisation de la technologie dans la lutte contre la traite des êtres humains, et comment les gouvernements et les organisations internationales peuvent renforcer leur collaboration avec les entreprises et la société civile.

MESA REDONDA SOBRE LA TRATA DE SERES HUMANOS EN LA ERA DIGITAL. El pasado 17 de diciembre de 2019, la División Anti-trata del Consejo de Europa organizó una mesa redonda titulada «Intensificar la acción del Consejo de Europa contra la trata de seres humanos en la era digital». El objetivo de la mesa redonde se situó en lograr una puesta en común de informaciones y de propuestas en torno a la mejor utilización de las herramientas existentes y de desarrollar las alianzas públicas-privadas para prevenir y combatir la trata de seres humanos en la era digital. Los participantes en la mesa redonda examinaron los principales desafíos ligados a la identificación de las víctimas de trata en línea, a las investigaciones y a la persecución de los autores de infracciones ligadas a la trata de seres humanos cometidas por medio de la tecnología de la información y de la comunicación.

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La réunion a rassemblé une soixantaine de participants des Représentations permanentes des Etats membres et observateurs du Conseil de l’Europe, des représentants des forces de l’ordre, des entreprises et de la société civile.

Source: GRETA