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Le trafic humain est intolérable dans un monde civilisé, a dit la Représentante Spéciale de OSCE

viernes, 28 de octubre de 2011

La Représentante spéciale de OSCE  et Coordinateuer pour Combattre le Trafic des Êtres humains, Marie Grazia Giammarinaro, a dit que les gouvernements doivent intensifier la lutte contre l’esclavage de nos jours et  prioriser les droits des victimes à propos du Jour d’Antitrafic de l’Union Européenne, le 18 octobre.

EL TRÁFICO DE SERES HUMANOS ES INTOLERABLE EN UN MUNDO ORGANIZADO, SEÑALA LA REPRESENTE ESPECIAL DE OSCE. La Reperesentante especial de OSCE y Coordinadora para combatir el tráfico de seres humanos, Mare Grazie Giammarinaro, ha dicho que los gobiernos deben intensificar la lucha contra la exclavitud de nuestros días y priorizar los derechos de las víctimas, con ocasión del Día contra el Tráfico de Seres Humanos en la Unión Europea, el pasado 18 de octubre.—————————————————————————————————————————

«Mes pensées vont à beaucoup de gens qui ont perdu sa liberté et contrôle de ses vies, à ces gens – principalement des femmes et des jeunes filles – depuis qu’ils sont forcés dans la prostitution; à ceux qui sont attrapés dans l’esclavage avec de longues heures sans recevoir de salaire dans l’agriculture, la construction, la servitude domestique; à ces enfants qui sont obligés à demander ou voler pour l’avantage de ses exploiteurs»,  a ditGiammarinaro. «Les droits et les intérêts de ces personnes doivent toujours prendre d’abord le lieu.»

«Le trafic d’êtres humains ne peut pas être admis dans une société civilisée. Le trafic croît encore et s’est converti en quelque chose d’habituel en certaines aires du marché du travail, et en énorme affaire pour le crime organisé.»

Giammarinaro a requis les gouvernements pour améliorer son comportement contre le trafic des êtres humains et pour qu’il soit une vraie priorité. La frontière, l’immigration et les agences d’application de la loi devraient totalement s’acquitter des obligations de protection dans les cas dans lesquels il y avait une personne soumise à un trafic. Giammarinaro a insisté pour ce que les gouvernements devraient coopérer avec des organisations non gouvernementales et des syndicats pour appuyer des personnes un objet de trafic dans la récupération et l’inclusion sociale. De plus, ell un secteur privé devrait assumer la responsabilité de nettoyer sa chaîne d’approvisionnement, et finalement la communauté internationale devrait augmenter la coopération, surtout dans le domaine d’une prévention.

Source: OSCE