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Archivo para jueves, 13 de febrero de 2014

Reformas legales en México para combatir la trata de seres humanos

jueves, 13 de febrero de 2014 Sin comentarios

Senado de la República

El Senado mexicano aprobó por unanimidad modificaciones a la ley en materia de combate a la trata de personas, que establece tipos penales, elimina la posibilidad de exonerar a culpables de este delito y establece sanciones de hasta 45 años de cárcel. La reforma cambia la denominación de este ordenamiento para quedar como “Ley General en Materia de Trata de Personas” y establece redacciones que posibiliten la eficacia en las sanciones penales a los sujetos activos de los delitos. Asimismo distribuye competencias y promueve la coordinación de las autoridades en materia de protección y asistencia a las víctimas, así como criterios rectores en la prevención, atención, investigación, procesamiento y sanción para la protección integral de los derechos humanos.

DES RÉFORMES LÉGALES AU MEXIQUE POUR COMBATTRE LA TRAITE D’ÊTRES HUMAINS. Le Sénat mexicain a approuvé à l’unanimité des modifications à la loi en matière de traite des personnes, qui établit des types pénaux, élimine la possibilité d’exonérer des coupables de ce délit et établit des sanctions de jusqu’à 45 ans de prison. La réforme change la dénomination de cette ordonnance pour rester comme «la Loi Générale en matière de traite des personnes» et établit les rédactions qui facilitent l’efficacité dans les sanctions pénales aux sujets actifs des délits. De la même manière elle distribue des compétences et fait possible la coordination des autorités en matière de protection et  d’aide aux victimes, ainsi que des critères directeurs dans la prévention, l’attention, la recherche, l’accusation et la sanction pour la protection intégrale des droits de l’homme [Le texte continue en espagnol]. Leer más…

La Audiencia de Girona absuelve al dueño del burdel Paradise

jueves, 13 de febrero de 2014 Sin comentarios

Según informa en su edición digital El País, no existen pruebas que demuestren que José Moreno lideraba una red de proxenetas, ni siquiera que existiera esta organización criminal. La Audiencia de Girona ha absuelto por falta de pruebas al dueño del macroprostíbulo Paradise de la Jonquera (Alt Empordà), para quien la fiscalía solicitaba 14 años de prisión por liderar entre 2009 y 2010 una red de proxenetas dedicada a captar chicas en Brasil para hacerlas prostituir en los clubes que regentaba en las comarcas gerundenses. Junto a él ha absuelto a seis de los otros supuestos miembros de la organización criminal y solo ha condenado a cuatro años de prisión a uno de ellos, Rodrigo Rodrigues, por un delito contra los derechos de los ciudadanos extranjeros.

Comme informe à son édition digitale «El País», il n’existent pas les preuves qui démontrent que José Moreno était à la tête d’un réseau de proxénètes, ni même que cette organisation criminelle existait. L’Audience de Girona (Catalogne, nord de l’Espagne et frontière avec la France) a acquitté par manque des preuves le maître du prostibule Paradise de la Jonquera (Alt Empordà), pour qui le ministère public sollicitait 14 ans de prison pour être à la tête entre 2009 et 2010 d’un réseau de proxénètes dédié à capter des femmes au Brésil pour les faire prostituir dans les clubs qu’il dirigeait dans Gérone. On a acquitté aussi six des autres membres supposés de l’organisation criminelle et seulement on a condamné à quatre ans de prison l’un d’eux, Rodrigo Rodrigues, pour un délit contre les droits des citoyens étrangers [Le texte continue en espagnol]. Leer más…